Lors de ma première session universitaire (automne 2013), dans le cours Didactique générale et modèles d’enseignement au primaire (DDD1210) donné par Sylvie Viola, j’ai écrit un essai sur l’inclusion scolaire. Afin de prendre position sur ce sujet, je me suis référée au livre Manifeste pour une école compétente (Lafortune, et al., 2011).
Dans mon essai, j’évoque le fait qu’il s’avère important d’inclure les élèves en difficulté d’apprentissage dans des classes régulières afin que ces derniers ne ressentent pas une infériorité par rapport à leurs camarades. De plus, j’affirme que les élèves en difficulté peuvent construire leurs connaissances à travers les élèves ayant une grande facilité à l’école, et ce, lors d’échanges en classe.
Lorsque j’ai écrit cet essai, quelques semaines après avoir fait mes premiers pas dans ce programme universitaire, je n’avais pas beaucoup de bagages par rapport au milieu scolaire. En effet, j’avais très peu de connaissances sur ce qu’était un élève en difficulté et sur les ressources disponibles pour lui venir en aide. À ce jour, c’est-à-dire en fin de parcours, je réalise que ce travail m’a permis de forger mon opinion sur l’éducation pour la toute première fois et de comprendre ce qu’est l’inclusion scolaire.
Également, ce travail m’a beaucoup fait réfléchir lors de mes stages. À cet égard, ayant travaillé auprès d’élèves en difficulté d’apprentissage lors de mes quatre stages, j’ai pris conscience que ces élèves ont le potentiel d’apprendre dans des classes ordinaires. Je suis donc du même avis qu’en automne 2013, c’est-à-dire qu’il faut éviter l’exclusion scolaire, puisque la clé du succès pour ces élèves est de leur offrir des services selon leurs besoins et de faire de la différenciation pédagogique dans notre enseignement. Lors de mes stages, plus particulièrement lors de mon quatrième stage, j’ai pu voir d’énormes progrès chez des élèves qui éprouvaient de la difficulté et qui ont réussi à atteindre les objectifs attendus, et ce, grâce à un suivi de près et aux nombreuses interactions avec les autres élèves de la classe. (332 mots)
En artéfact, vous trouverez mon essai sur l’inclusion scolaire.
Source :
Lafortune, L. et al. 2011. Manifeste pour une école compétente. Québec: Presses de l'Université du Québec, 136 p.
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